Fanfic Electrique

Et si… L’Oncle Picsou Avait Perdu sa Fortune et que les Neveux Étaient Tombés dans l’Enfer de la Drogue?

June 24, 2024

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Ah ben tabarnak, quand l’Oncle Picsou a perdu toute sa fortune, c’était pas beau à voir!

Et Riri, Fifi pis Loulou, eux autres, ils savaient pas pantoute comment dealer avec ça! Les trois petits canards qui avaient toujours eu de l’argent à pelleter se sont retrouvés à devoir compter leur change pour se payer leur p’tit jus d’orange le matin! Pis oublie ça les escapades en jet privé, c’était fini les voyages à travers le monde pour des aventures folles!

Tout a commencé un matin ben ordinaire. Ils se sont réveillés, tout contents de commencer une nouvelle journée, mais quand ils ont vu leur oncle en train de pleurer dans ses Cheerios, ils ont su que quelque chose clochait. L’Oncle Picsou, le vieux grincheux, avait tout perdu à cause d’une mauvaise investissement dans une compagnie de robots qui fabriquaient des fidgets spinners. Les spinners, c’était ben cool, tout le monde aime ça! Mais les robots qui les fabriquent, pas tant. Bref, plus une cenne dans le coffre-fort, et le vieux Picsou lui, obligé de vendre son p’tit costume de bain pour payer les comptes.

Riri, Fifi pis Loulou, eux autres, étaient habitués à la grande vie: les buffets à volonté, les gadgets high-tecs et les sorties en limousine, c’était leur quotidien! Mais là, ils se retrouvaient à manger du Kraft Dinner pis à magasiner chez Dollarama. La déprime s’installe ben vite, pis les trois commencent à réaliser qu’ils savent pas comment vivre comme du monde normal.

La première semaine sans cash, ils décident d’aller à l’épicerie pour acheter des provisions. Ça part mal dès le départ! Riri essaie de scanner un melon d’eau avec sa montre intelligente, Fifi se perd dans l’allée des vêtements, pis Loulou, ben il pense que les codes barres, c’est des messages secrets des Illuminati. Finalement, ils réussissent à payer avec les coupons rabais qu’ils ont trouvés dans le journal, mais c’est une vraie catastrophe. De retour à la maison, c’est la misère noire. Les trois frères sont tellement habitués à avoir tout cuit dans le bec qu’ils savent même pas comment défaire leur épicerie.

Pis là, l’isolation commence à frapper. Avant, ils avaient toujours des amis autour d’eux parce que, ben, quand t’as de l’argent, tout le monde veut être ton ami. Mais maintenant, ils se retrouvent seuls comme des pauvres p’tits canards dans une mare asséchée. Le téléphone sonne jamais, les invitations aux partys fancy disparaissent, et même Daisy, la petite amie de Donald, les ghoste.

Et c’est là que ça commence à virer vraiment bizarre. Ils décident de se construire un fort en boîtes de carton dans le salon, pis ils se mettent à faire des concours de “qui peut rester éveillé le plus longtemps en mangeant juste des crottes de fromage”.

Le soir venu, ils essaient de se réconforter en regardant leurs films préférés, mais sans Netflix, ils sont pognés avec les vieux VHS de leur enfance. Pis là, ça commence à virer absurde. Riri se met à parler aux personnages à l’écran comme si c’était des vrais gens, Fifi invente des théories de conspiration sur pourquoi leur oncle a vraiment perdu sa fortune, et Loulou, ben lui, il décide qu’il va devenir un moine pour trouver la paix intérieure.

Ils sont complètement perdus, incapables de s’adapter à leur nouvelle réalité sans leurs luxes habituels.

Finalement, c’est le désespoir total. Ils passent leurs journées à se lamenter sur leur sort, à se demander comment ils ont pu en arriver là. Le moral est à terre, ils se sentent plus bas que jamais, comme des pauvres p’tits canards sans abri dans une tempête de neige. Et c’est juste le début de leur descente aux enfers…

Riri qui va encore manger des macaronies

Quand Gros Bill, Slick Rick et Fluffy Entrent en Scène

Un jour, en buvant de la Sloche dans la stationnement du dépanneur du coin, ils rencontrent une gang de canards louches. Ces gars-là, c’est pas des amis d’enfance, c’est des vrais trouble-fêtes!

Y’en a un qui s’appelle Gros Bill, un autre qui se fait appeler Slick Rick, pis y’a même une canne nommée Fluffy. Oui, Fluffy, mais avec une attitude de bad girl. Ces canards-là, ils ont des p’tits sacs dans les poches et des yeux rouges comme des feux de circulation un soir de tempête.

Gros Bill, c’est un gros canard avec une voix grave et un air de pas-trop-brillant. Il sort un joint de sa poche pis dit à Riri : “Hey p’tit, tu veux essayer quelque chose de vraiment cool ? Ça va te faire oublier tous tes problèmes.” Pis là, Riri, qui est déjà ben désespéré, se dit que ça peut pas être pire que de regarder Fifi essayer d’attraper des mouches dans leur fort en carton.

Fifi, lui, il est pas trop sûr, mais il se laisse convaincre par Fluffy qui lui dit avec un clin d’œil : “Viens, mon chou, tu vas voir, c’est la vie en rose.” Pis Loulou, ben lui, il suit la gang parce qu’il veut pas être laissé de côté, il pense que peut-être ça va l’aider à trouver la paix intérieure qu’il cherche depuis qu’il a décidé de devenir moine.

Ils commencent doucement, juste une p’tite puff ici et là, mais ça vire ben vite en spiral de folie.

Les mauvais amis les traînent dans des party douteux dans des sous-sols sombres pis des ruelles malfamées. Un soir, Riri se met à croire qu’il est une superstar de la danse, Fifi lui, pense qu’il peut parler aux arbres, pis Loulou, commence à voir des licornes volantes partout. La réalité devient repidement un concept ben flou pour eux.

L’Oncle Picsou, pendant ce temps-là, il essaie de trouver des solutions pour récupérer sa fortune, mais il se rend compte que ses neveux sont en train de sombrer dans le gouffre de la dope. Un jour, en rentrant à la maison, il les trouve tous étendus sur le plancher, entourés de paquets de Doritos et de bouteilles de Mountain Dew. Riri parle à une lampe, Fifi écrit des poèmes incompréhensibles sur les murs du fort, pis Loulou médite en chantant des mantras bizarres.

Picsou pète les plombs : “Câlisse, qu’est-ce qui se passe ici?! Vous êtes supposés être des canards intelligents, pas des zombies!” Mais c’est déjà trop tard, l’influence des mauvais amis a déjà pris le dessus.

Les trois neveux continuent de suivre Gros Bill, Slick Rick pis Fluffy partout où ils vont, se retrouvant dans des situations de plus en plus folles. Et ils ne boivent pas juste de la Sloche!

Un soir, ils se retrouvent dans une fête où y’a un p’tit concert de musique techno avec des lumières stroboscopiques qui les hypnotisent complètement. Riri décide de grimper sur les épaules de Gros Bill pour faire un solo de air guitar, tandis que Fifi essaie de convaincre tout le monde qu’il peut voler en battant des bras.

Loulou, lui, se fait entraîner par Fluffy dans une pièce à part où elle lui montre un nouveau truc : la magie noire. Ils allument des bougies pis commencent à réciter des incantations bizarres. Loulou est persuadé qu’il a des pouvoirs magiques pis il passe la nuit à essayer de transformer des objets en or.

Mais ça marche pas pentoute.

Le lendemain matin, les trois frères se réveillent avec des maux de tête épouvantables, quelques pattes cassés et des souvenirs flous de la veille. Mais malgré les avertissements de leur oncle, ils continuent de suivre leurs nouveaux amis, tombant de plus en plus profond dans l’enfer de la drogue. Leur vie devient une série de péripéties absurdes, chaque jour plus étrange et chaotique que le précédent. Ils perdent le peu de repères qu’ils avaient encore, se retrouvant complètement déconnectés de la réalité.

Et c’est là que le vrai drame commence, mais ça, c’est pour une autre fois. Pour l’instant, nos trois canards sont coincés dans une spirale infernale, sans savoir comment en sortir.

Loulou qui s’en va apprendre la magie noire

Détérioration Total. Comme Picsou le dit: Les Neveux Virent Zombies!

Bon, là c’est vraiment la débandade totale pour nos p’tits canards préférés, Riri, Fifi et Loulou. Après avoir perdu toute leur fortune et tombés sous l’influence de leurs nouveaux amis, Gros Bill, Slick Rick pis Fluffy, leur santé commence à en prendre tout un coup. Pis là, c’est pas joli joli.

Ça commence par des p’tits signes. Riri, qui était toujours le premier debout pour aller à l’aventure, commence à avoir de la misère à sortir du lit. Pis quand il réussit, c’est juste pour se traîner jusqu’au divan et se rendormir devant des vieilles reprises de DuckTales. Ses plumes, d’habitude si lisses et brillantes, sont rendues toutes en bataille, pis y’a des cernes sous les yeux comme s’il avait pas dormi depuis des semaines.

Fifi, lui, qui était toujours en train de faire du sport et de s’entraîner, il a plus d’énergie pantoute. Il passe ses journées à grignoter des chips pis à regarder le plafond couché dans son fort en carton en se demandant si la vie a encore un sens. Ses muscles disparaissent, remplacés par une bedaine de bière qu’il a même pas.

Pis Loulou, le plus zen des trois, il commence à avoir des hallucinations bizarres. Il voit des licornes pis des lutins partout, pis il parle tout seul en se disant que c’est des conversations philosophiques profondes. Ses yeux sont toujours rouges, pis il a l’air d’un zombie sorti d’un mauvais film d’horreur.

Leur alimentation, c’est pas fort non plus. Ils mangent juste du junk food, des Doritos, des Pop-Tarts et des Mountain Dew. Desfois des Pogo et de la pizza! Leur diète, c’est une catastrophe nutritionnelle. Ils sont tellement mal nourris que même les rats dans l’appartement les regardent avec pitié.

Leur comportement aussi, c’est de pire en pire. Riri devient agressif pour un rien. Il crie après tout le monde, même après les p’tits oiseaux qui viennent chanter à la fenêtre. Fifi se met à faire des crises de panique chaque fois qu’il entend un bruit fort, pis Loulou, ben lui, il décide qu’il va vivre comme un ermite dans leur fort en carton. Il passe des journées entières sans sortir, enveloppé dans une couverture en essayant de méditer pour “se reconnecter avec l’univers”.

L’Oncle Picsou, lui, il sait plus quoi faire. Il essaie de leur parler, de les ramener à la réalité, mais c’est comme parler à des murs. Un jour, il décide d’amener Riri chez le médecin parce qu’il s’inquiète vraiment pour lui. Le médecin, après avoir fait quelques tests, secoue la tête et dit à Picsou : “Votre neveu est en état de malnutrition sévère et a les organes endommagés par la consommation! Il doit changer ses habitudes immédiatement, sinon ça va mal finir.”

Picsou sort de là encore plus stressé qu’avant, sachant qu’il a deux autres problème à la maison!

Mais les trois frères, eux, ils sont trop loin dans leur trip pour écouter les conseils. Ils continuent leur descente aux enfers, devenant de plus en plus fragiles physiquement et mentalement. Pis là, les choses commencent à devenir vraiment bizarres. Un soir, en plein milieu de la nuit, Fifi se met à courir partout dans la maison en criant qu’il doit attraper le “lapin magique”. Riri décide de se teindre les plumes en rose parce qu’il pense que ça va le rendre invisible, pis Loulou, ben lui, il passe des heures à construire une machine à voyager dans le temps avec des boîtes de céréales pis du papier d’aluminium.

Leurs amis, Gros Bill, Slick Rick pis Fluffy, sont pas mieux. Eux aussi sont pris dans le même tourbillon de drogue pis de folie. Ils encouragent les trois neveux à continuer leurs conneries, en disant que “la vie est une fête sans fin”. Mais la fête commence à devenir un cauchemar. Les trois frères se retrouvent de plus en plus isolés, rejetés par tout le monde autour d’eux. Leur apparence change tellement qu’ils se reconnaissent même plus dans le miroir.

Riri, Fifi et Loulou, les canards vifs et énergiques qu’on connaissait, sont devenus des ombres d’eux-mêmes, des êtres fragiles et épuisés qui se battent pour survivre chaque jour. Nos trois p’tits canards sont pris dans un cercle vicieux de détérioration physique et mentale, incapables de trouver une issue.

3 petits canard pu comme avant…

Riri, Fifi et Loulou en Mode Braqueurs de Banques

Après avoir perdu leur fortune, s’être fait embobiner par des mauvais amis et avoir vu leur santé se détériorer comme un vieux char abandonné, ils sont rendus à un point où ils ont plus une cenne pour financer leurs trips de drogue. Pis quand t’es en manque, tu fais des affaires ben stupides, même si t’es un canard!

Ça commence par des p’tits délits. Un soir, Riri, qui est en mode MacGyver sous acide, décide qu’ils vont cambrioler le dépanneur du coin pour se faire des provisions. Il pense que c’est une idée de génie. Pis là, ils se mettent en plan: Fifi va faire diversion en demandant au commis où sont les Cheetos, pendant que Loulou ramasse tout les bonbons qu’il peut faire entrer dans son sac à dos. Riri, lui, fait le guet à l’entrée en essayant de pas trop ressembler à un suspect.

Ils arrivent au dépanneur, et tout se passe comme prévu… jusqu’à ce que Loulou, complètement gelé, commence à parler aux gummy bears en leur demandant si ils veulent rejoindre son culte de la licorne magique. Le commis les regarde avec des yeux ronds comme des trente sous, pis finalement, ils prennent la poudre d’escampette avec juste une poignée de bonbons pis une canette de soda.

Mais ça, c’est juste le début. Leur dépendance grandit, pis avec elle, leurs idées de génie deviennent de plus en plus risquées. Ils se mettent à voler des vélos dans les cours arrière pour les revendre. Ils sont tellement désespérés qu’ils finissent par essayer de dévaliser une machine distributrice de beignes dans un centre commercial. Riri se coince la main dedans, pis Fifi essaie de l’aider en secouant la machine, ce qui finit par déclencher une alarme. Ils se retrouvent à courir dans le centre commercial, poursuivis par un agent de sécurité en Segway.

Une fois de retour dans leur fort en carton, ils réalisent qu’ils doivent trouver un coup plus gros pour vraiment se faire de l’argent. C’est là que Riri a l’idée du siècle: cambrioler une banque. Oui, une banque! Fifi pis Loulou sont sceptiques, mais Riri, en mode Al Pacino dans “Dog Day Afternoon”, les convainc que c’est la solution à tous leurs problèmes. Ils se fabriquent des masques en papier mâché (parce qu’ils ont pas de budget pour des vrais), pis se préparent à passer à l’action.

Le jour du cambriolage, tout part de travers. Leur plan est aussi solide qu’une poutine sans fromage. Fifi, qui est censé désactiver les caméras de sécurité, se trompe de fils et coupe le courant dans tout le quartier. Loulou, chargé de surveiller les otages, commence à leur raconter ses théories sur les licornes magiques, ce qui fait que les otages sont plus confus qu’effrayés. Pis Riri, lui, il essaie d’ouvrir le coffre-fort avec un tournevis en plastique.

Évidemment, les flics débarquent en moins de deux pis les trois frères se retrouvent coincés comme des rats. Pis là, en panique totale, ils essaient de se sortir de là en prétendant être des acteurs en train de tourner un film. “C’est pour YouTube! C’est pour YouTube!”, crie Riri, mais personne les croit.

Finalement, ils finissent par se faire arrêter et passer une nuit au poste de police…

En sortant du poste, après que l’Oncle Picsou ait payé leur caution en vendant ses derniers bijoux de famille, les trois canards se rendent compte qu’ils ont vraiment touché le fond. Ils ont plus rien, pis leurs délits commencent à les rattraper. Mais malgré tout, leur dépendance est trop forte, pis ils retombent vite dans leurs vieux travers.

Ils continuent leurs activités criminelles, volant des voitures, dévalisant des magasins, pis même essayant de vendre des fausses œuvres d’art qu’ils peignent eux-mêmes. Leur vie devient un tourbillon de chaos, pis chaque jour, ils s’enfoncent un peu plus dans l’illégalité. Leur transformation, de jeunes canards vifs et énergiques à des criminels en cavale, est complète.

Busted!

Les Neveux et l’Oncle Picsou en Guerre Ouverte

Chaque jour, c’est des engueulades constantes dans la maison. Riri commence les hostilités en pointant un doigt accusateur vers l’Oncle Picsou. “Câlisse, t’étais censé être le plus riche du monde! Comment t’as pu tout perdre dans cette maudite affaire de fidgets spinners?” Fifi enchaîne en se plaignant que leur vie est devenue un enfer à cause de lui. “On mange des crottes de fromage pis des Pop-Tarts pour déjeuner, dîner et souper! C’est de ta faute, vieux grincheux!”

Loulou, qui est habituellement le plus zen des trois, perd aussi son calme. “Pis mes licornes, elles sont où maintenant? Tout ça, c’est à cause de toi, vieux maudit!” L’Oncle Picsou, lui, il sait plus quoi dire. Il est rongé par la culpabilité pis l’incompréhension. Il essaie de leur expliquer qu’il a fait une erreur, que ça arrive à tout le monde, mais les trois neveux sont trop en colère pour écouter.

La maison devient un champ de bataille. Les meubles volent, les portes claquent, et même les portraits de famille finissent par terre. Riri, dans un accès de rage, jette la vieille lampe en forme de canard que Picsou chérissait tant. “Ça, c’est pour toutes les années où t’as été avare pis t’as rien partagé!” Fifi, lui, décide de brûler les vieux magazines de finances de Picsou. “Ça, c’est pour toutes les fois où t’as été trop occupé à compter tes maudites pièces au lieu de passer du temps avec nous!”

Le fort en carton, détruit, là, au milieu du salon, ne tien plus sur rien.

Picsou, désemparé, essaie de les calmer. “Écoutez, les gars, je sais que j’ai fait des erreurs, mais on peut encore s’en sortir ensemble. On est une famille, non?” Mais c’est trop tard. La rupture familiale est consommée. Les trois frères aux jugements floué se sentent trahis et abandonnés par celui qu’ils voyaient comme un modèle. Ils commencent à éviter leur oncle, sortant encore plus souvent pour traîner avec Gros Bill, Slick Rick pis Fluffy.

Picsou, lui, reste seul dans sa grande maison vide, à ressasser ses erreurs pis à se demander comment il pourrait réparer les choses. Il essaie de les aider, mais chaque tentative se retourne contre lui. Un jour, il décide d’organiser une intervention avec l’aide de Donald. Mais quand Riri, Fifi et Loulou rentrent à la maison pis voient leur famille réunie pour les confronter, ils pètent les plombs.

“C’est ça, votre solution? Nous faire sentir comme des minables devant toute la famille?” hurle Riri. Fifi ajoute: “On a pas besoin de votre pitié, on a besoin que tu répares tes erreurs!” Loulou, lui, est en larmes: “Je veux juste retrouver mes licornes…”

La situation dégénère encore plus. Les trois frères commencent à passer de moins en moins de temps à la maison, préférant traîner dans les ruelles sombres pis les sous-sols lugubres avec leurs mauvais amis. Ils rejettent tout ce que leur oncle essaie de faire pour les aider, convaincus qu’il est responsable de tous leurs malheurs.

Picsou, lui, se referme sur lui-même. Il passe ses journées à compter le peu de pièces qui lui restent, se demandant où il a foiré. Sa santé commence à en prendre un coup aussi, rongé par le stress et la culpabilité.

La rupture familiale atteint son apogée un soir où Riri, complètement défoncé, rentre à la maison avec un plan encore plus fou que les autres: voler la réserve d’or de la banque centrale. “Oncle Picsou, tu viens avec nous ou pas? On va se refaire une fortune!” Mais Picsou, évidement, refuse fermement. “Non, les gars, ça suffit. On doit trouver une autre solution.”

Riri, furieux, claque la porte en criant: “On a plus besoin de toi, vieux crisse!” Fifi pis Loulou le suivent, laissant Picsou seul dans la maison silencieuse, entouré des souvenirs d’une famille autrefois unie.

Notre bon vieil Oncle qui se retrouve seul

Dans le Tourbillon des Rechutes

On est rendu au bout du rouleau pour Riri, Fifi pis Loulou. L’Oncle Picsou décide que c’est assez. Câlisse, il faut faire quelque chose pour sauver ses p’tits canards! Il décide de les envoyer en réhabilitation, pensant que ça va les remettre sur le droit chemin.

Première tentative: le centre de réhabilitation “Les Ailes de l’Espoir”. Un endroit supposément paisible, avec des jardins zen pis des séances de méditation. Mais pour Riri, Fifi et Loulou, c’est un enfer sur terre. Dès le premier jour, ils réussissent à faire sauter les plombs du centre en essayant de brancher leur vieux micro-ondes pour réchauffer des Pop-Tarts. Riri se bat avec le thérapeute parce qu’il veut pas faire du yoga, Fifi se cache dans les buissons pour éviter les séances de groupe, et Loulou, ben lui, il passe son temps à parler aux statues de Bouddha, convaincu qu’elles vont lui révéler les secrets de l’univers.

Les trois frères finissent par se faire expulser après avoir organisé une fête clandestine dans leur chambre avec des Doritos, trop de canettes de soda et une vieille radio trouvée dans le sous-sol. Picsou, désespéré, essaie de les ramener à la maison, mais ils s’enfuient à la première occasion pour rejoindre Gros Bill, Slick Rick pis Fluffy dans une autre virée de folie.

Deuxième tentative: “La Maison du Renouveau”, un centre ultra strict où tout est contrôlé à la minute près. Picsou pense que la discipline militaire va les remettre sur le droit chemin. Mais encore une fois, c’est le bordel. Riri, qui a toujours détesté les règles, décide de mener une rébellion contre l’autorité. Il entraîne Fifi et Loulou dans une évasion spectaculaire en pleine nuit, utilisant des draps noués comme corde pour descendre par la fenêtre. Ils se font évidemment prendre par le personnel, mais pas avant d’avoir réussi à mettre le feu aux cuisines en essayant de faire des crêpes à 3h du matin.

Picsou commence à perdre espoir. Il consulte des spécialistes et des psychologues cheap, pis même une voyante qui lui dit que ses neveux sont possédés par l’esprit d’un vieux pirate. Il essaie tout ce qu’il peut, mais rien ne marche. Chaque fois qu’ils semblent faire des progrès, Riri, Fifi et Loulou rechutent. Ils trouvent toujours une façon de contourner les règles, de se faufiler hors des centres de réhabilitation pis de retomber dans leurs vieilles habitudes.

Troisième tentative: “Le Repaire des Héros Sains”, un centre de réhabilitation qui utilise des méthodes alternatives comme la thérapie par les animaux pis l’art-thérapie. Picsou pense que c’est sa dernière chance. Mais dès qu’ils arrivent, les choses tournent mal. Riri adopte un lama qu’il essaie de cacher dans sa chambre, Fifi décide de peindre des fresques murales sur tous les murs du centre (même ceux des toilettes), et Loulou se met à organiser des séances de spiritisme avec les autres patients.

Encore une fois, ils se font expulser. L’Oncle Picsou est à bout de souffle, mais il refuse de baisser les bras. Il décide de les ramener à la maison pis d’essayer une approche plus personnelle. Il leur organise des activités familiales, des sorties au parc, pis même des soirées jeux de société.

Mais rien à faire. Les trois frères sont trop profondément ancrés dans leur dépendance.

Un soir, après une énième rechute, Riri, Fifi pis Loulou finissent par avouer à leur oncle qu’ils se sentent prisonniers de ce cycle infernal. Picsou, en larmes, leur dit qu’il les aime et qu’il fera tout ce qu’il peut pour les aider.

Mais même avec tout l’amour du monde, la route vers la réhabilitation est longue pis semée d’embûches.

Les jours passent, et chaque tentative pour les aider échoue. Les professionnels et la voyante sont désemparés, ne sachant plus quoi faire pour aider ces trois canards en détresse…

La rehab pour les frères canards!

Riri, Fifi et Loulou Rejetés par Duckburg

Alors, imagine-toi la scène: Riri, Fifi pis Loulou, nos trois p’tits canards qui avaient tout pour eux, sont maintenant les parias de Duckburg. Ils se retrouvent face à la pire épreuve de toutes: la stigmatisation sociale.

Duckburg, c’était un endroit où tout le monde connaissait tout le monde. Avant, les gens les adoraient nos trois frangins. Ils étaient les stars du quartier, toujours prêts à aider, toujours souriants. Mais là, c’est une toute autre histoire. Maintenant, quand ils marchent dans la rue, les gens les regardent de travers, murmurent des choses dans leur dos pis s’éloignent comme s’ils avaient la peste. Câlisse, ça fait mal au cœur.

Un jour, Riri décide de faire une petite promenade pour prendre l’air. Il passe devant la boulangerie où il allait toujours acheter des beignes. Le boulanger, un vieux canard du nom de M. Quenouille, le regarde avec des yeux ronds comme des sous noirs. “T’as plus le droit d’entrer ici p’tit criss! T’es une mauvaise influence pour les autres jeunes!” Riri, le cœur brisé, retourne chez lui en pleurant.

Fifi, lui, essaie de s’inscrire à un club de sport pour retrouver un peu de sa forme d’antan. Mais dès qu’il arrive au gym, le propriétaire, un gros costaud nommé Arnold, lui dit: “Écoute, mon p’tit, on veut pas de problèmes ici. T’as qu’à faire tes pompes ailleurs.” Fifi se sent comme une mouche dans une soupe, rejeté pis humilié.

Pis Loulou, notre philosophe halluciné, tente de participer à une séance de méditation en plein air organisée par la ville. Mais quand il arrive, les autres participants le regardent avec mépris. Une vieille canne du nom de Mme Dupont lui dit: “Va-t’en, t’es un trouble-fête. On veut pas de tes histoires de licornes ici.” Loulou, dévasté, retourne se réfugier dans le fort en carton qu’ils ont reconstruit tant bien que mal dans le jardin de l’Oncle Picsou.

Partout où ils vont, c’est la même chose. Les gens les évitent, les ignorent, les traitent comme des moins que rien. Même les enfants du quartier, qui avant les adulaient, leur jettent des pierres pis des insultes. “Vos histoires de fidgets spinners ont ruiné nos vies!” crie un gamin. C’est comme si tout Duckburg avait décidé de les punir pour les erreurs de leur oncle.

La stigmatisation atteint son apogée lors d’un événement public organisé par la mairie. Le maire, un gros canard pompeux, décide de faire un discours sur “les dangers de la déchéance morale”. Et qui est-ce qu’il utilise comme exemple? Ben oui, nos trois frangins. “Regardez ces jeunes, ils avaient tout pour eux, mais ils ont tout gâché par leur propre faute. Duckburg ne peut tolérer de tels comportements.” Riri, Fifi et Loulou, caché derrière la foule, se sentent écrasés par le poids de la honte.

Picsou, lui, essaie de défendre ses neveux, mais personne veut l’écouter. Il est devenu l’ennemi public numéro un. Les gens l’accusent de tous les maux de la ville. “C’est de ta faute si nos enfants sont en danger!”, lui crie une mère en colère. Picsou se sent impuissant, rongé par la culpabilité et l’incompréhension.

Riri, Fifi et Loulou, de plus en plus isolés, commencent à sombrer dans un désespoir profond. Ils se sentent comme des étrangers dans leur propre ville, rejetés par ceux qu’ils considéraient comme leurs amis. Ils passent leurs journées enfermés dans le fort en carton dans la cour, à se lamenter sur leur sort. Leurs rêves d’avenir sont écrasés sous le poids de la stigmatisation sociale.

La communauté de Duckburg, qui avant les adorait, les a maintenant tournés en dérision. Les trois frères sont devenus les boucs émissaires de tous les problèmes de la ville. Leur sentiment d’exclusion est tel qu’ils commencent à perdre tout espoir de rédemption. Chaque jour est une lutte pour survivre dans un monde qui les a rejetés.

Riri, Fifi et Loulou sont pris dans un tourbillon de rejet social, incapables de trouver un moyen de regagner l’amour et le respect de leur communauté…

Lueur d’Espoir: La Rédemption de Riri, Fifi et Loulou

Un matin, contre toute attente, c’est Loulou, le philosophe halluciné, qui décide que c’est assez. Après une énième nuit blanche passée à parler aux licornes invisibles dans leur fort en carton, il se réveille avec une idée lumineuse. “Les gars, j’peux pas continuer comme ça. On va finir par crever si on change pas nos vies!” Riri et Fifi, qui sont en train de débattre de l’importance des Doritos dans une diète équilibrée, lèvent la tête, surpris.

Loulou a l’air plus déterminé que jamais. “On a touché le fond, mais y’a juste une direction à prendre maintenant: vers le haut.” Riri, d’abord sceptique, voit bien que Loulou est sérieux. “Pis comment tu veux faire ça, Einstein? On a tout essayé.” Loulou, les yeux brillants, répond: “On n’a pas tout essayé. On a pas encore vraiment essayé de se battre.”

C’est là que commence leur aventure de la rédemption. Loulou décide de prendre les choses en main. Il se met à lire des livres sur la méditation, la pleine conscience et même sur l’auto-hypnose. Il commence chaque journée avec une séance de yoga dans le jardin, au milieu des débris de leur ancien fort en carton. Riri et Fifi, intrigués, commencent à le suivre. Ils se rendent compte que, même si ça a l’air ben bizarre, ça fait du bien.

Picsou, voyant ses neveux essayer de s’en sortir, retrouve un peu d’espoir lui aussi. Il décide de les soutenir de toutes les manières possibles. Il vend quelques vieilles babioles qui traînaient dans le grenier pour leur payer des séances de thérapie. Il leur cuisine même des repas équilibrés, bien qu’il ait jamais été un grand chef. “Si vous mangez encore des crottes de fromage, je vous jure que je les jette par la fenêtre!” dit-il en rigolant.

Les premiers jours sont difficiles. Riri a des crises de manque où il pète les plombs pis veut tout casser. Fifi, lui, fait des cauchemars pis se réveille en sueur. Mais chaque fois qu’ils sont sur le point de craquer, Loulou est là pour les ramener à la réalité.

“On est ensemble là-dedans. On va s’en sortir, un jour à la fois.”

Loulou devient un vrai leader pour ses frères. Il trouve des activités pour les occuper, comme s’occuper du jardin ou apprendre à jouer de la guitare. Ils commencent même à organiser des soirées karaoké dans leur chambre, juste pour le plaisir.

Et tu sais quoi? Ils sont pas mal bons, en fait. Ça leur redonne un peu de confiance en eux!

Petit à petit, les progrès se font sentir. Les trois frères commencent à retrouver leur énergie, leur joie de vivre. Ils recommencent à sourire, à rire, à faire des projets.

Les gens de Duckburg, voyant leurs efforts, commencent à changer d’attitude. Le boulanger M. Quenouille leur offre des beignes gratuits un matin, en disant: “Vous méritez peux-être bien une deuxième chance.” Arnold du gym les accueille à bras ouverts, disant: “Venez vous entraîner, les gars. On est fiers de vous!”

La transformation est lente, mais elle est bien réelle. Riri, Fifi pis Loulou trouvent la force de se battre, jour après jour. Pis à chaque étape, leur oncle est là, avec eux, les encourageant, les soutenant. La famille se ressoude, plus forte qu’avant. Ils apprennent à se pardonner, à accepter leurs erreurs pis à aller de l’avant ensemble.

Finalement, après des mois d’efforts, ils réussissent à surmonter leurs démons. Ils se tiennent debout, fiers et unis, prêts à affronter l’avenir. Riri, Fifi pis Loulou comprennent que, malgré tout, la famille, c’est ce qui compte le plus. C’est cette solidarité, cet amour inconditionnel, qui les a sauvés.

Une histoire qui fini bien

La Morale de l’Histoire: L’amour et la Famille Triomphent Toujours

Faque, après toute cette saga de déchéance, nos trois p’tits canards ont vraiment touché le fond. Leur vie est devenue un vrai show de marionnettes complètement déjanté, entre les forteresses en carton et les conversations avec des boîtes de conserve. C’était comme regarder un épisode de Ducktales en accéléré, mais avec les canards qui vont pas bien pentoute!

Mais malgré tout, y’a toujours une p’tite lumière au bout du tunnel. Loulou, notre philosophe halluciné, a trouvé la force de se relever, de mettre un pied devant l’autre, pis de dire “Câlisse, ça suffit!” Il a inspiré ses frères à faire pareil, et ensemble, avec l’aide de l’Oncle Picsou, ils ont réussi à se sortir du trou. Leur résilience et leur esprit de famille les ont aidés à retrouver une vie plus normale, même si c’était et que se sera toujours un peu le bordel.

En fin de compte, cette histoire nous montre que peu importe les niaiseries qu’on peut faire, la famille, c’est bien souvent ce qui compte le plus. C’est ben beau de rêver à des montagnes de pièces d’or, mais la vraie richesse, c’est l’amour pis le soutien qu’on trouve autour de nous. Pis ça, Riri, Fifi et Loulou l’ont appris à la dure, mais ils l’ont appris pour de bon.

Et si ça prend des crises, des rechutes et des forteresses en carton pour finir par en arriver là, ben câlisse, ça en vaudra la peine!

(CHAPITRE BONUS) Le Mariage Épique de Mickey et Goofy!

Alors, après tout ce bordel pis la grande rédemption de Riri, Fifiet Loulou, c’est enfin le temps de célébrer! Mickey pis Goofy, ben fiers de la transformation des neveux et de la force de leur famille, décident de faire un grand coup. Pis quand je dis un grand coup, je parle de quelque chose d’énorme. Les deux compères décident de se marier et d’organiser le party de l’année!

Ça commence un beau matin, alors que Mickey se réveille avec une idée farfelue dans la tête. Il regarde Goofy pis dit : « Tabarnak, ça fait longtemps qu’on est des amis! Pourquoi qu’on se marie pas? » Goofy, avec son grand sourire de benêt, répond : « Ben ouais, Mickey! C’est une maudite bonne idée! Faisons ça en grand! » Et c’est parti!

Mickey et Goofy se mettent à planifier le plus gros party que Duckburg ait jamais vu. Ils envoient des invitations à toute la gang : Donald, Daisy, Minnie, Clarabelle, pis bien sûr, l’Oncle Picsou et ses neveux.

Le jour J arrive et c’est l’effervescence totale. La cérémonie se passe dans le parc central de Duckburg, décoré avec des lumières de Noël pis des ballons multicolores. Y’a même une band de canards musiciens qui jouent des covers de vieux hits rock. Riri, Fifi pis Loulou sont là, habillés en tuxedos, fiers comme des coqs. Ils ont l’air ben beaux, et ça fait chaud au cœur de les voir heureux après tout ce qu’ils ont traversé.

Mickey, dans son habit de cérémonie, a des étoiles dans les yeux. Goofy, en tuxedo, essaie de rester sérieux, mais il finit par trébucher sur ses grandes pattes et fait rire tout le monde. La cérémonie est remplie de moments tendres pis de fous rires. Pis quand le maire de Duckburg demande si quelqu’un s’oppose à ce mariage, Donald, toujours un peu jaloux, crie « Moi! » avant de se faire taper sur la tête par Daisy. « Ah, câlisse, Donald! Laisse-les tranquilles! »

Après les vœux échangés pis le baiser, c’est le temps du party! Y’a un buffet qui ferait rougir n’importe quel all-you-can-eat : des montagnes de crevettes, des plateaux de fromages, pis des gâteaux plus grands que Goofy. Les boissons coulent à flots, et y’a même une fontaine de chocolat pour les becs sucrés.

Riri, Fifi et Loulou, eux, sont sur la piste de danse. Ils montrent leurs moves de danse endiablée et tout le monde les suit. Même l’Oncle Picsou, d’habitude si sérieux, se lâche lousse et fait le moonwalk. « Ben voyons donc, oncle Picsou! Qui aurait cru que t’avais ça en toi? » crie Riri en riant.

Mickey pis Goofy, eux, sont les rois de la soirée. Ils dansent, ils rigolent, pis ils prennent des photos avec tout le monde. Minnie, qui est la demoiselle d’honneur, essaie de garder tout le monde organisé, mais c’est mission impossible avec toute cette gang déchaînée. À un moment donné, même Gros Bill, Slick Rick et Fluffy, ben à jeun, se joignent à la fête!

La soirée continue avec des feux d’artifice, des concours de karaoké (où Donald, malgré sa voix de canard, réussit à impressionner tout le monde avec une version de “Bohemian Rhapsody”), pis des tonnes de jeux. Y’a même un combat de bouffe à un moment donné, juste pour le fun, pis tout le monde finit par se couvrir de crème fouettée.

Vers la fin de la soirée, Mickey prend le micro et fait un discours émouvant. « Mes amis, aujourd’hui, on célèbre pas juste notre mariage, mais aussi la force de l’amour et de la famille. Riri, Fifi, Loulou, vous nous avez montré que peu importe les obstacles, on peut toujours trouver la lumière. Pis on est fiers de vous. » Tout le monde applaudit, et y’a même quelques larmes dans les yeux.

La soirée se termine avec une grande chanson collective, où tout le monde, mains dans les mains, chante « We Are Family ». Les étoiles brillent dans le ciel de Duckburg, et on sent que l’amour et l’espoir sont plus forts que jamais.

We are family!

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