Chapitre 1: Tomber dans les Marches de la Moria: Aragorn se Casse le Dos!
Imaginez la scène:
Les sombres couloirs de Moria, le trou du cul de la terre du milieu où personne ne veut être. Les murs suintent l’humidité puante et l’air est lourd de poussière et de désespoir. Le silence est à peine brisé par les pas précipités de la communauté et les battements de leurs cœurs affolés. Puis, tout à coup, surgit le Balrog, cette bibitte géante en feu, qui se met à leur courir après comme s’il était tous des plats délicieux dans un buffet chinois. La panique totale s’installe! Les gars fuient à toute vitesse, chacun avec sa propre manière de gérer la terreur.
Legolas, le prince elfe au calme habituel, essaie de rester cool avec ses flèches et ses pirouettes élégantes, mais même lui sait que ses flèches ne feront pas le poids contre un monstre de feu. Gimli, de son côté, jure à chaque pas, s’enfargeant dans sa barbe, sa hache brandie, prêt à tout. Mais c’est Aragorn, leur leader supposément infaillible, qui vole la vedette avec une gaffe monumentale.
Alors que Boromir vient tout juste de tomber en bas du pont, tentant de protéger le reste de la communauté, Aragorn voulant descendre les marches à toute vitesse, glisse du pied sur une pierre traîtresse. Il fait un vol plané, se retrouvant en l’air pendant un moment qui semble durer une éternité, avant de s’écraser lourdement sur les marches en contrebas.
CRAC! Le son de son dos qui se brise résonne dans les couloirs, et tout le monde s’arrête net. Même le Balrog.
Gimli, qui était juste derrière, lâche un beau « Tabarnak de calisse de marde! » bien senti. Même dans la panique, les sacres de Gimli réussissent toujours à se faire remarquer.
Frodo, déjà en mode panique totale depuis que la quête a commencé, se met à pleurer comme si sa vie en dépendait, et Sam essaie de le consoler tout en gardant un œil sur Aragorn qui se tord de douleur sur le sol.
Gandalf, avec sa longue robe et sa grosse barbe flottant dans le vent de la panique, débarque en courant. Il commence son habituel discours de sagesse, mais franchement, c’est pas le moment de jaser! Il faut sortir Aragorn de là avant que tout le monde finisse en boucane.
Legolas et Gimli se précipitent pour soulever Aragorn, mais ce n’est pas facile. C’est pas un petit poids plume, ce gars-là! Avec le Balrog qui se recommence à se rapprocher dangereusement, l’adrénaline atteint des sommets.
Mais ils finissent par sortir de Moria, tous en sueur, évitant les flèches des orcs des cavernes, les nerfs à vif. C’est là que la réalité les frappe comme une brique en pleine face : leur chef est en morceaux.
En voyant Aragorn étendu là, couché sur le sol rocailleux avec son dos en miettes, ils réalisent l’ampleur de la situation. Comment vont-ils continuer cette quête sans leur leader en pleine forme? Les pensées tourbillonnent dans leurs têtes. Est-ce que c’est la fin de leur quête avant même d’avoir vraiment commencé?
Mais il y a un espoir.
Personne ne sait encore que Galadriel, la dame de Lothlórien, va leur donner un coup de main avec une chaise roulante magique. À ce moment-là, tout ce qu’ils savent, c’est qu’ils sont dans la marde jusqu’au cou avec un Aragorn hors d’usage. Et c’est là que les doutes commencent à poindre: Est-ce qu’ils ont pris la bonne décision en se lançant dans cette aventure? Les regards se croisent, cherchant du réconfort et des réponses qu’ils ne trouveront pas de sitôt.
Alors qu’ils campent pour la nuit, les murmures vont bon train. Gimli tente de rassurer les autres avec ses histoires de batailles passées, mais même lui ne peut cacher son inquiétude. Legolas, toujours en alerte, garde un œil sur chaque ombre mouvante, prêt à décocher une flèche à la moindre menace. Gandalf, de son côté, plonge dans des réflexions profondes, cherchant une solution dans ses connaissances millénaires. Sam, lui, passe son stress en mangeant 7, 8 feuilles de Lembas.
Le lendemain matin, ils se mettent en route, traînant Aragorn avec eux. Chaque pas est une lutte, chaque mouvement une douleur. Mais ils avancent, obstinés, refusant de laisser tomber. Les sacres et les grognements ponctuent leur marche, mais ils tiennent bon. Parce que malgré tout, c’est leur leader et leur ami, ils ne l’abandonneront pas.
La communauté arrive alors dans une clairière parsemée d’arbre. Aragorn souffrant, comme pour se guérir, murmure des mots elfiques incompréhensibles. L’aura de l’endroit change rapidement. Sans bruit, la bande se retrouve entourée de garde, portant avec eux arc et flèches. « Le nain râle peut-être fort, mais votre ami cassé en deux fait beaucoup trop de bruit… » dit un garde, entouré d’autre, des flèches braquées sur eux.
Et c’est comme ça qu’Aragorn a fait sa grosse chute dans Moria, transformant une fuite déjà stressante en un vrai désastre. Un moment épique, mais pour toutes les mauvaises raisons. La gang était ben loin de se douter que leur aventure venait juste de devenir encore plus fuckée. Mais ils allaient bientôt découvrir que même dans les pires moments, il y a toujours une lueur d’espoir, et cette lueur vient parfois sous la forme d’une chaise roulante enchantée!
Chapitre 2: Le Don de Galadriel: La Chaise Roulante Magique
Après la grosse gaffe d’Aragorn dans la Moria, la communauté se retrouve complètement découragée. Il faut dire que trainer un gars avec le dos en morceaux à travers la Terre du Milieu, c’est pas exactement une partie de plaisir.
C’est là qu’ils arrivent, guidé par les gardes, à Lothlórien, le genre de place qui ressemble à une carte postale féerique: Les arbres sont géants, y’a des lumières de Noël qui brillent partout, pis ça sent le printemps en permanence! En plus, y’a Galadriel, la reine des elfes du coin, qui les attend, toute resplendissante de sagesse et de compassion.
Galadriel, c’est pas n’importe qui! Elle a des pouvoirs magiques et une clairvoyance qui ferait passer les autres devins pour des amateurs. Quand elle voit l’état d’Aragorn, elle sait tout de suite qu’il va falloir faire quelque chose de ben spécial.
Alors, elle les accueille et elle leur prépare un festin digne d’un banquet royal. Après qu’ils se sont remplis la panse et fumé un bon coup, elle les mène dans une clairière magique, où elle leur dévoile son plan pour aider Aragorn.
Elle sort de la terre une espèce de grosse boîte en bois et tout le monde se demande ce qu’elle trame. Puis, avec un geste théâtral digne de The Price is Right, elle ouvre la boîte et révèle une chaise roulante pas comme les autres. C’est pas une chaise ordinaire, non non! C’est une chaise roulante enchantée, faite de matériaux légers et très résistants.
Aragorn, couché sur l’herbe, est stupéfait. Au clair de lune, la chaise brille d’une lumière douce et on dirait même presque qu’elle est vivante!
Gimli, avec ses gros yeux écarquillés, lance un franc « Tabarnak, c’est quoi ça? ».
Galadriel, imperturbable, commence à leur expliquer l’affaire: Cette chaise roulante n’est pas juste un moyen de transport. Elle est magique! Elle peut se déplacer avec une facilité déconcertante, comme si elle flottait! Et elle est super résistante, capable de supporter les coups et les chocs sans broncher.
Aragorn, qui est encore un peu sceptique, se fait aider pour s’asseoir dedans. Et là, magie instantanée, il se sent tout de suite mieux! La chaise s’ajuste automatiquement pour son confort et il commence à se déplacer avec une fluidité incroyable.
Fini les galères à se faire transporter comme un sac de patates par les autres. Il peut maintenant avancer avec dignité et sans doute même se battre si nécessaire.
Legolas, toujours impressionné par les trucs magiques, regarde Aragorn se déplacer avec un sourire en coin.
« C’est comme si tu volais », qu’il dit.
Frodo, lui, est juste content de voir Aragorn un peu plus en forme, et Sam, fidèle comme toujours, se dit que ça va au moins leur faciliter la vie.
Galadriel continue ses explications. La chaise est aussi équipée de quelques gadgets secrets. Genre, des petites lames qui peuvent sortir pour couper les racines ou des flèches miniatures pour se défendre. Gimli, tout excité, demande s’il peut avoir une version naine de la chaise. Galadriel rit doucement, mais elle reste sérieuse: cette chaise est unique, un cadeau spécial pour un homme spécial. Elle lui donne donc une pognée de ces cheveux à la place.
Pis là, Gandalf, toujours avec ses airs mystérieux, s’approche d’Aragorn.
« C’est pas juste une chaise roulante », qu’il dit en prenant une bonne pipée de quelque chose de magique. « C’est un symbole de ta résilience et de ta force. Avec ça, tu peux continuer ta quête sans être un fardeau pour nous autres! ».
Aragorn acquiesce, sentant un nouvel espoir renaître en lui.
Le lendemain, après avoir remercié Galadriel mille fois, la gang se remet en route. Et là, c’est une nouvelle dynamique! Aragorn, dans sa chaise roulante magique, avance avec détermination. La chaise glisse en tête sur le terrain comme si de rien n’était, évitant les obstacles avec une aisance déconcertante. Même les pires chemins ne sont plus un problème!
Deux jours et deux nuits passent. Alors que tout le monde se détend sur le bord du fleuve. Frodon et Sam décident de se séparer du reste du groupe.
« Ça l’air plus le fun de passer par là! Les roches piquantes semblent mener tout droit vers le volcan! », que hurle Frodon, déjà à moitié dans l’eau tendit que Sam lui coule comme une roche.
Tout le monde rigole, même Merry et Pippin, une pipe à la bouche en leur faisant des saluts de la main. La bonne humeur est à son comble depuis qu’Aragorn à sa nouvelle chaise!
Et c’est comme ça que la gang, maintenant divisé, repart de Lothlórien vers le Rohan avec un Aragorn tout neuf, équipé de sa chaise roulante enchantée.
Un moment qui montre que même dans les pires situations, il y a toujours de l’espoir, surtout quand t’as une reine elfe magique dans ton coin! Leurs aventures allaient continuer, et cette chaise allait devenir un symbole de leur détermination et de leur résilience.
Chapitre 3: Docteur Gandalf: Rien ne Fonctionne
La communauté, séparée de Frodon et Sam, après avoir quitté Lothlórien avec leur nouveau jouet magique, la chaise roulante enchantée d’Aragorn, se dirige vers Rohan. C’est pas un petit bout de chemin! Mais avec Aragorn qui roule comme un roi, c’est déjà moins pire.
Après 14 semaines de marche et de roulement. Ils arrivent finalement au Rohan, pis là, sortie de nulle part, Gandalf, avec sa grosse barbe maintenant blanche et ses airs mystérieux, décide qu’il est temps de sortir les gros canons magiques pour tenter de guérir le dos d’Aragorn!
Gandalf, qui aime bien faire les choses en grand, choisit une clairière paisible pour son spectacle. La bande s’installe autour, curieux de voir ce que le vieux magicien va bien pouvoir faire. Le soleil se couche doucement, créant une ambiance parfaite pour la magie. Théoden et toute son équipe se joint au party! Legolas, Gimli, Merry et Pippin prennent place comme si c’était le premier rang d’un show de magie à Vegas.
Gandalf commence par allumer des bougies tout autour de la clairière, murmurant des incantations mystérieuses qui résonnent dans l’air. Les bougies s’allument d’elles-mêmes, et une lueur bleue enveloppe la scène.
« Sacrebleu, c’est comme dans un film de science-fiction! », s’exclame Gimli, les yeux grands comme des assiettes.
Aragorn, installé confortablement dans sa chaise roulante magique, regarde Gandalf avec une pointe de scepticisme. Le vieux magicien lève son bâton vers le ciel et commence à psalmodier des paroles anciennes. Des mots qui ressemblent à des recettes de cuisine mélangées avec des gros jurons. Les nuages au-dessus commencent à tourbillonner, et des éclairs de lumière jaillissent de son bâton.
« Tabarnak, c’est quoi ce bordel? », se demande Legolas, toujours impressionné par les shows de lumière.
Gandalf continue, les yeux fermés, concentré comme jamais. Il trace des cercles dans l’air avec son bâton, chaque mouvement créant des vagues d’énergie qui enveloppent Aragorn.
Puis, soudainement, le sol se met à trembler. Des racines sortent de la terre, enroulant doucement les roues de la chaise roulante d’Aragorn.
« C’est-tu normal, ça? », demande Merry, l’air inquiet.
Mais Gandalf, imperturbable, continue ses incantations. Des sphères lumineuses commencent à danser autour de la tête d’Aragorn, éclatant en petites étincelles dorées.
Gandalf prononce alors les paroles finales de son sort, une série de mots gutturaux qui résonnent comme des éclats de tonnerre. L’énergie se concentre autour d’Aragorn, créant une aura presque tangible. Les spectateurs retiennent leur souffle, attendant le miracle.
Et là, tout retombe à plat. Les lumières s’éteignent, les racines retournent dans le sol, et le silence s’installe.
Gandalf, visiblement épuisé, essuie la sueur de son front. Aragorn, lui, reste assis dans sa chaise, l’air légèrement déçu.
« Pis? Ça a marché? », demande Gimli, toujours optimiste, hache à la main.
Aragorn essaie de bouger, mais rien n’a changé. Son dos est toujours aussi pété qu’avant. Gandalf, un peu défait, secoue la tête.
« Câline, c’était bien tenté, mais c’est ancré trop profondément. Y’a rien à faire, cette blessure est incurable. », qu’il dit.
La gang se regarde, un peu dépités, mais aussi reconnaissants des efforts de Gandalf. Pippin, pété comme une balle, essaie de remonter le moral en disant que c’était quand même un super show de magie. Legolas propose d’aller boire un coup pour se remettre de leurs émotions, et tout le monde acquiesce.
La tentative de guérison par Gandalf se termine sur une note absurde. Malgré tous les efforts du vieux magicien, la blessure d’Aragorn reste incurable.
Mais ils réalisent que parfois, même la magie la plus puissante a ses limites. Pis au fond, c’est pas juste la force physique qui compte, c’est aussi la résilience et le courage.
Avec Aragorn dans sa chaise roulante enchantée, la quête continue, et ils sont prêts à affronter n’importe quel défi qui se présente à eux!
Chapitre 4: Pew Pew Pew, Arcs Automatiques au Gouffre de Helm
Alors là, la bande d’Aragorn se retrouve au Gouffre de Helm, prête à défendre le fort contre une armée d’Orques pas possibles. C’est le soir de la grosse bataille, l’ultime confrontation. Et il faut dire que tout le monde est un peu nerveux! Même Aragorn, qui roule toujours avec sa chaise roulante enchantée.
Mais cette fois-ci, y’a un petit twist qui va tout changer!
Les Elfes arrivés en surprise juste avant le combat, toujours pleins de surprises et de gadgets, décident de faire une méga modification à la chaise roulante d’Aragorn. Ils se mettent à bricoler comme des fous, sortent des outils bizarres et des pièces de métal scintillantes.
Legolas, avec son talent inné pour les arcs et les flèches, dirige les opérations. Gimli, malgré son amour pour les haches, regarde tout ça avec curiosité et un brin de jalousie.
Ils installent des arcs automatiques sur les côtés de la chaise roulante. Pas des petits arcs de pacotille, non non, des vrais arcs de guerre capables de tirer des flèches à une vitesse fulgurante! Et comme si ce n’était pas assez, ils ajoutent un système de visée magique, un truc que même Gandalf ne peut pas encore faire avec ces magicienneries!
Aragorn, bien installé dans sa chaise, se sent comme un vrai pilote de course ou de chasse avec une machine de guerre sous ses fesses.
Le moment de la bataille arrive, et c’est l’heure de vérité.
Les Orques, ces grosses brutes, arrivent en masse, hurlant et brandissant leurs armes. Les défenseurs du Gouffre de Helm sont prêts, mais quand ils voient ce que les Elfes ont fabriqué pour Aragorn, tout les autres hommes restent bouche bée.
« Tabarnak, ça calvaire mal! » lâche un des soldats en voyant les arcs automatiques s’activer.
Les flèches volent, les orques essaient de monter des échelles sur les remparts. Aragorn, avec un sourire en coin, commence à se déplacer. La chaise glisse sur le sol comme un patineur olympique. Et là, les arcs se mettent à tirer des flèches à une cadence effrénée. C’est comme un feu d’artifice, mais avec des flèches qui dégomment les Orques à distance. Chaque fois qu’Aragorn appuie sur un bouton, une volée de flèches part, transperçant les ennemis comme des brochettes.
Les Orques, qui pensaient avoir l’avantage, se retrouvent rapidement en panique. Ils savent plus où donner de la tête. C’est un vrai carnage et Aragorn se marre en voyant la confusion dans leurs rangs.
« Allez, bande de cossins, venez goûter à mes flèches magiques! » qu’il crie, tout fier de son nouveau jouet.
Legolas, qui tire des flèches à côté, regarde Aragorn avec admiration. « C’est pas pire, hein?, tu dois ben être rendu à 2 893 orques! » qu’il dit en décochant une autre flèche.
Gimli, lui, se contente de rire et de balancer sa hache avec une précision redoutable.
« J’ai jamais vu un show comme ça! »
La bataille fait rage, mais grâce à la chaise roulante modifiée, Aragorn devient une force redoutable. Les Orques tombent comme des mouches et les défenseurs reprennent courage en voyant leur leader dans toute sa splendeur. C’est comme si la chaise roulante avait donné à Aragorn une nouvelle jeunesse, un nouveau pouvoir. Et il en profite à fond.
À un moment donné, une horde d’Orques bourrés d’explosifs décide de foncer directement sur lui, pensant pouvoir le faire sauter. Mais c’est mal connaître Aragorn et ses nouveaux gadgets! Les arcs automatiques se mettent à tirer en rafale, créant un mur de flèches impossible à traverser. Les Orques tombent les uns après les autres, explosant leurs alliés, détruisant leurs échelles et leurs tourelles. Ils sont incapables d’approcher.
Quand Gandalf arrive avec des renforts au lever du soleil, il ne comprend rien pantoute. Les orques sont tous morts. Des feux de camps sont allumés et on peut entendre chanter dans tout le gouffre.
« Bon ben aller vous amusez les gars, faudra en être en forme pour le Gondor! », qu’il dit aux destriés à ces côtés.
Finalement, la bataille du Gouffre de Helm se sera terminé avec une victoire éclatante pour les défenseurs. Aragorn, dans sa chaise roulante magique, est acclamé comme un héros. Les soldats lui tapent dans le dos (en évitant la colonne pétée), pis tout le monde rigole et célèbre.
« Ça, c’est du beau travail! » qu’on entend partout.
Ils le lèvent dans les airs avec sa chaise. Même Théoden lui met ça couronne sur la tête, scandant:
« C’est toi qui devrais être le roi de tout le monde! Ce soir Éowyn est à toi! ».
C’est comme ça qu’Aragorn, avec ses arcs automatiques, est devenu la star du Gouffre de Helm. Une pété ben raide, qui montre que même dans les moments les plus sombres, il y a toujours une solution inventive (et un peu folle) pour renverser la vapeur.
Parce que quand t’as des amis comme les Elfes pour bricoler des armes magiques, tu peux affronter n’importe quoi, même les pires hordes d’Orques!
Chapitre 5: Party après la Bataille: Le Show d’Aragorn
Party après la Bataille: Le Show d’Aragorn
Après la grosse victoire au Gouffre de Helm, tout le monde est en mode célébration totale.
Faut dire qu’ils l’ont mérité, après avoir défoncé une armée d’Orques avec des flèches magiques et des haches bien placées. Le moral est à son max et ils décident d’organiser une fête grandiose remplit des restants de pétards de Gandalf pour marquer le coup. C’est l’heure de se détendre et de laisser tomber la pression accumulée.
Ils montent un campement festif en un rien de temps. Les feux de camp s’allument, les victuailles sortent de nulle part et les cruches de bière et de vin commencent à circuler. Merry et Pippin gâtent tout le monde avec des bonnes herbes de la Comté.
Les soldats humains, les Elfes et même Gimli avec sa grosse voix grave, chantent des chansons de victoire à pleins poumons. Ça rigole, ça trinque, et l’ambiance est au top.
Et là, au milieu de tout ça, y’a Aragorn dans sa chaise roulante magique. Lui, il a décidé de mettre le paquet pour cette soirée. Les Elfes, toujours prêts à aider, ont bricolé un autre petit quelque chose de spécial pour l’occasion!
Ils ont ajouté des roulettes super technologiques sous la chaise, des roulettes qui permettent de faire des mouvements fluides, presque dansants. Et comme si ce n’était pas assez, ils ont installé des petites lumières colorées qui clignotent au rythme de la musique.
Les premières notes d’une mélodie envoûtante commencent à résonner. Les musiciens, inspirés par la victoire, jouent de tout leur cœur. Aragorn, avec un sourire en coin, commence à se déplacer. Sa chaise roulante glisse sur le sol comme si elle flottait. Pis là, c’est le show.
Aragorn se met à exécuter des mouvements de danse impressionnants. Il tourne, il virevolte, il fait des figures que personne n’aurait crues possibles pour un gars en chaise roulante.
Les hobbits arrivent vite fait pour s’éclater avec lui. Éowyn aussi, complètement sous la charme, saute sur la chaise!
Les autres s’arrêtent net pour regarder. Les yeux écarquillés, ils n’en croient pas leurs oreilles ni leurs yeux.
« Tabarnak, check ben ça! » s’exclame Gimli, tout ébahi en se garrochant dans le pit.
Legolas, toujours élégant, esquisse un sourire admiratif. Même Gandalf, avec son air habituellement sérieux, ne peut s’empêcher de rire et d’applaudir, faisant sauter des feux en même temps.
Aragorn et ces amies enchaîne les pirouettes, les roues de sa chaise créant des dessins lumineux dans l’air. C’est comme si la musique le portait, chaque mouvement en parfaite harmonie avec les notes jouées. Les soldats, emportés par l’énergie de la danse, commencent à frapper dans leurs mains en rythme. C’est une ambiance de folie, un vrai feu de joie collectif.
À un moment donné, Aragorn fait un tour sur lui-même, les bras levés au ciel. Les lumières colorées de sa chaise roulante scintillent comme des étoiles.
Et là, il finit par un mouvement final complètement spectaculaire, une sorte de grand écart sur roues, qui laisse tout le monde bouche bée. Les applaudissements fusent de toutes parts, c’est l’ovation totale!
Merry, avec ses gros yeux d’enfant émerveillé, s’approche d’Aragorn.
« Comment t’as fait ça? », demande-t-il, ébloui.
Aragorn, un peu essoufflé mais tout sourire, répond simplement:
« C’est la magie des Elfes et un peu d’imagination, mon p’tit Merry! »
La fête continue de plus belle. Tout le monde danse, chante et trinque à la santé de leur héros. Les chants de victoire résonnent dans la nuit, et les rires fusent de toutes parts.
C’est une soirée dont ils se souviendront longtemps, un moment de pur bonheur après tant d’épreuves.
Ce soir-là, dans sa chaise roulante enchantée, Aragorn a émerveillé tout le monde avec ces tirs de flèches, mais aussi ces mouvements de danse. Une soirée éclatée, mais remplie de joie et de camaraderie. Parce que même dans les moments les plus sombres, y’a toujours de la place pour la fête et le rire. Et avec un leader handicapé comme Aragorn, chaque victoire est une occasion de célébrer la vie, l’amitié et le fait de pouvoir bouger!
Chapitre 6: Aragorn et ces Amis Fantôme au Gondor
Après avoir fait un show de danse épique au Gouffre de Helm, la gang se dirige vers Gondor pour la bataille ultime.
Le moral est au beau fixe mais tout le monde sait que ça va être un gros morceau. Les Orques et les forces de Sauron eux se préparent à attaquer Minas Tirith et ça s’annonce pas joli! Pis là, c’est le moment pour Aragorn de sortir son as de sa manche.
La bataille commence, et c’est le chaos total.
Les Orques déferlent comme une marée noire, après la charge des chevaliers du Rohan, les défenseurs de Gondor se battent comme des lions, mais ça ne suffit pas. Et là, au milieu de tout ça, Aragorn décide qu’il est temps d’invoquer ces amis les fantômes. Ouais, vous avez bien entendu, les fantômes! Ceux-là mêmes qu’il a recrutés dans une grotte avec l’épée magique dans une aventure sur la route du Gondor.
Avec son épée brandie, il appelle les esprits des morts. Des chiens galeux transparents d’anciens rois. Tout d’un coup, le ciel s’assombrit, et des formes spectrales vertes commencent à apparaître. C’est comme un film d’horreur en plein jour, mais version épique. Les fantômes glissent sur le champ de bataille, effrayant les Orques et redonnant espoir aux troupes de Gondor.
Et c’est là que ça devient vraiment amusant! Les fantômes, avec leur pouvoir spectral, entourent la chaise roulante d’Aragorn. Ils commencent à la soulever doucement, et voilà qu’Aragorn se met à flotter au-dessus du champ de bataille!
« Ben voyons donc, c’est pas possible! » s’écrie Gimli en voyant la scène. « Tabarnak, il vole! »
« Que mes yeux d’elfe m’en abuse! » murmure Legolas venant de décapiter deux trois éléphants.
Aragorn, flottant dans les airs avec sa chaise roulante magique, se déplace librement au-dessus de la mêlée. Les fantômes le portent avec grâce, et il se dirige vers les endroits les plus chauds du combat, inspirant ses troupes par sa présence surnaturelle.
Les soldats de Gondor lèvent les yeux vers lui, bouche bée. Ils voient leur leader en train de planer comme un super-héros et ça leur donne un boost de motivation de fou.
Aragorn fait un arrêt prêt de Gandalf qui se bat contre le chef de Nazgûl.
« Bien le bon jour mon ami! », qu’il lui dit en riant. « Besoin d’un coup de main? ».
Les fantômes partent sans dessus dessous et mangent le roi des Nazgûl. Gandalf n’en revient pas.
Les Orques, de leur côté, sont complètement paniqués. Voir un gars en chaise roulante flottant dans les airs, entouré de fantômes, c’est pas exactement ce qu’ils avaient prévu cette journée là. Ils commencent à reculer, déstabilisés par cette vision terrifiante.
« C’est quoi cette affaire-là?! » gueule un Orque difforme en voyant Aragorn arriver droit sur lui.
Aragorn, avec son sourire confiant, lance des ordres et encourage ses hommes. Il virevolte dans les airs, évitant les flèches et les projectiles comme s’il faisait du slalom.
Legolas, toujours prêt à en rajouter, en profite pour décocher des flèches avec une précision déconcertante.
« Ça, c’est du spectacle! » qu’il lance, tout fier.
Aragorn entend alors quelqu’un crier son nom.
« Aragorn, Aragorn! ».
C’est Merry et Pippin, au sommet de la ville.
« Aragorn! Le genre de faux roi est en feu, il vient de se lancer dans le vide, attrapez le! »
Aragorn rigole dans sa chaise et leur fait un pouce en l’air.
« Non c’est bon! Lui, laissez le chuter! »
Les hobbits se mettent alors à danser pour célébrer pendant que Denethor s’écrase, le corps entièrement calciné par les flammes, sur les belles dalles blanches de la cité.
À un moment donné, Aragorn aperçoit un groupe de soldats de Gondor en difficulté, encerclés par des Orques. Il fonce vers eux, ses fantômes le suivant de près. Avec une synchronisation parfaite, les fantômes se mettent à attaquer les Orques, libérant les soldats.
« Câline de bine, on est sauvés! » s’écrie un des soldats, soulagé.
La bataille continue, mais l’impact de la présence flottante d’Aragorn est indéniable. Les troupes de Gondor redoublent d’efforts, inspirées par la vision de leur leader surnaturel. Les fantômes, eux, continuent de semer la terreur parmi les rangs ennemis, donnant l’avantage aux défenseurs.
Finalement, après des heures de combat intense, la marée tourne en faveur de Gondor. Les Orques, démoralisés et terrifiés, commencent à fuir ou sont déjà mort depuis longtemps.
La victoire est à portée de main. Aragorn, toujours flottant, regarde le champ de bataille avec satisfaction. Il sait que cette victoire est le résultat de la bravoure de ses hommes, mais aussi un peu de son show spectral.
C’est comme ça qu’Aragorn, avec l’aide des fantômes, a flotté au-dessus du champ de bataille à Gondor. Une scène ô combien inspirante pour ses troupes. Parce que même dans les moments les plus sombres, notre bon vieux roi pas encore roi trouve toujours un moyen de surprendre tout le monde et de redonner espoir. Avec un leader Aragorn éclopé, rien n’est impossible, même voler en chaise roulante au-dessus d’un champ de bataille!
Chapitre 7: Coup de Théâtre aux Portes Noirs
Après avoir flotté au-dessus du champ de bataille à Gondor comme un super-héros spectral, Aragorn et ses amis se préparent pour l’affrontement final aux Portes Noires. C’est le moment de tout jouer, le dernier coup de dés contre Sauron et ses sbires. Et comme d’habitude, Aragorn a un plan en tête:
Après avoir été cogné à la porte et être encerclé par des bibittes de toutes sortes, la bataille commence, et c’est le bordel total! Les troupes de Sauron se ruent vers les défenseurs de la Terre du Milieu. Ça crie, ça hurle, ça se tape dessus, c’est le chaos le plus complet.
Et là, c’est le moment de gloire. Aragorn, avec une expression déterminée, sort de son sac une chose qui fait frissonner même les plus courageux. C’est la tête de la Bouche de Sauron, ce salopard qui passait son temps à balancer des menaces et à jouer les gros bras.
« Tabarnak, il l’a ramené avec lui! » s’exclame Gimli en voyant ça.
Aragorn, sans perdre de temps, fixe la tête sur un poteau spécial attaché à sa chaise roulante. Et là, il roule vers le front, la tête de la Bouche de Sauron bien en évidence au-dessus de lui. Les ennemis, en voyant ça, commencent à reculer, terrifiés par cette vision d’horreur.
« Vous allez tous crever! » hurle Aragorn, sa voix résonnant comme un coup de tonnerre alors qu’il éclate de rire.
Les soldats de Sauron, qui pensaient avoir l’avantage, sont pris de panique. Voir la tête de leur porte-parole en mode décoration de chaise roulante, c’est pas exactement motivant. Ils commencent à se désorganiser, incapables de se concentrer sur le combat. Les Elfes, les Hommes et même Gimli avec sa grosse hache en profitent pour redoubler d’efforts.
C’est comme si la présence d’Aragorn, avec sa macabre décoration, avait donné un coup de fouet à tout le monde.
Et c’est pas juste pour la déco. La tête de la Bouche de Sauron, avec sa bouche et ses dents piquantes encore tordue dans un rictus de terreur, semble presque vivante. Elle balance doucement avec les mouvements de la chaise roulante, ajoutant une touche encore plus flippante à la scène. Les Orques, qui n’ont déjà pas grand-chose dans le citron, commencent à se demander si ce n’est pas un genre de malédiction.
« C’es-tu un sortilège, ça? » gueule un Orque, complètement déboussolé.
Aragorn, lui, se marre bien. Il sait qu’il a réussi son coup. En plus d’inspirer ses troupes, il a semé la terreur chez l’ennemi. Il continue de rouler à travers le champ de bataille, abattant les ennemis à droite et à gauche avec ses arcs automatiques et son épée.
C’est un vrai spectacle, un mélange de courage, de folie et d’ingéniosité.
Les troupes de Gondor et leurs alliés, voyant leur leader faire des miracles, se lancent dans la mêlée avec une nouvelle énergie. Ils crient des encouragements, suivent l’exemple d’Aragorn et repoussent les forces de Sauron avec une détermination renouvelée. C’est comme si la tête de la Bouche de Sauron, au lieu de semer la peur, avait transformé la terreur en courage pour les bons.
Et puis, au moment où la bataille semble toucher à sa fin, Aragorn fait un dernier tour triomphal. Il brandit haut son épée, le Mont Doom explosant en même temps derrière lui. La tête de la Bouche de Sauron pendouille fièrement à l’arrière, comme un trophée macabre. Les ennemis restants prennent la fuite et tombent dans des crevasses, incapables de supporter la vue de leur porte-parole déchu.
Finalement, la victoire est à eux. La terre du Milieu est sauvée, et tout le monde sait que cette bataille restera dans les annales comme l’un des moments les plus éclatés et absurdes de l’histoire. Aragorn, avec sa chaise roulante enchantée et sa déco macabre, a prouvé une fois de plus qu’il est un leader pas comme les autres!
Chapitre 8: Retrouvailles avec Sam et Frodon: Quand Aragorn Fait lui Aussi Trois Pieds de Haut
Après avoir foutu la frousse aux troupes de Sauron avec la tête de la Bouche de Sauron accrochée à sa chaise roulante, Aragorn et sa gang sont enfin en mode détente. La guerre est finie, et c’est le temps de retrouver les amis qu’ils n’ont pas vus depuis un bou!
En particulier, Sam et Frodon, ces deux petits Hobbits qui ont traversé l’enfer et sont revenus vivants.
La rencontre est prévue dans une clairière paisible, entourée d’arbres géants et de fleurs partout. Aragorn arrive en roulant doucement, sa chaise enchantée glissant sans effort sur l’herbe. Puis là, au loin, il voit deux petites silhouettes familières. C’est Sam et Frodon! Tout heureux de revoir leur chum de bataille.
Quand ils se rejoignent, c’est l’émotion totale. Ils se prennent dans les bras (autant que possible) et les larmes de joie coulent. C’est un moment intense après toutes les galères qu’ils ont traversées. Et là, tout d’un coup, Frodon éclate de rire. Un rire franc, éclatant, qui surprend tout le monde.
« Quoi? » demande Aragorn, un sourire en coin.
Frodon pointe du doigt et dit:
« Regarde-nous, on est tous de la même taille maintenant! »
Sam regarde, et il part à rire aussi. Aragorn réalise alors que, assis dans sa chaise roulante, il est à peu près à la même hauteur que ses deux amis Hobbits.
« Tabarnak, c’est vrai! » qu’il s’exclame en riant.
C’est comme si cette simple constatation avait allégé l’atmosphère. Ils se regardent les trois, et ils éclatent de rire. Des rires francs, libérateurs, après tant de stress et de combats. Gimli, qui arrive avec Legolas, voit la scène pis ne peut s’empêcher de faire une remarque.
« Ben voyons donc, c’est un trio de Lilliputiens! » Pis tout le monde rit encore plus fort.
Ils passent l’après-midi à se raconter leurs aventures. Sam parle de ses moments de bravoure (et de ses repas ratés) sur le chemin de la Montagne du Destin. Frodon raconte comment il a failli tout lâcher, mais a trouvé la force grâce à Sam. Aragorn, lui, décrit ses folles aventures en chaise roulante, des arcs automatiques au show spectral.
À un moment donné, Sam sort une bouteille de vin de derrière une souche d’arbre.
« Pour célébrer nos retrouvailles! » qu’il dit.
Ils trinquent, et la discussion devient de plus en plus animée. Frodon, légèrement éméché, se met à imiter la danse qu’Aragorn a faite après la bataille du Gouffre de Helm. Il tourne, virevolte, et manque de tomber plusieurs fois, mais ça fait rire tout le monde.
Aragorn, toujours assis dans sa chaise magique, se sent à nouveau entier. Les rires et les blagues de ses amis lui rappellent que, malgré tout, ils sont encore là, ensemble, plus forts que jamais. Même Gandalf, avec son air sérieux habituel, finit par lâcher un sourire en coin, appréciant la scène.
À un moment donné, Legolas propose une course amicale.
« Qui va le plus vite, Aragorn dans sa chaise roulante ou les Hobbits à pieds? »
Tout le monde se met en ligne, prêt à partir.
« Un, deux, trois, go! » qu’il crie.
Aragorn appuie sur un bouton secret de sa chaise, et elle part comme une flèche, laissant les Hobbits sur place.
« C’est de la triche! » crie Sam, mais il rit de bon cœur.
Après la course, ils s’allongent tous dans l’herbe, regardant les étoiles apparaître une à une dans le ciel. Le silence s’installe, mais c’est un silence confortable, rempli de complicité. Ils savent que, peu importe ce qui arrivera ensuite, ils ont déjà vécu l’impossible.
Et ça, ça les unit pour toujours.
Chapitre 9: Le Roi qui Roule en Ents
Après avoir foutu une raclée aux troupes de Sauron et célébré les retrouvailles avec Sam et Frodon, c’est enfin l’heure pour Aragorn de prendre sa place en tant que roi. Pis là, faut dire que devenir roi, c’est pas juste de la business, c’est aussi une affaire de style. Fini les aventures épiques, c’est le temps de gouverner.Mais comme d’habitude avec Aragorn, ça se fait pas de manière conventionnelle.
Le couronnement d’Aragorn, c’est un vrai événement. Tout le monde est là, des Elfes aux Hobbits, en passant par les Hommes et même quelques Nains grincheux. La grande place est décorée de fleurs et de bannières, et le soleil brille de mille feux. Gandalf, avec sa grosse barbe blanche, fait son speech solennel, et c’est l’émotion partout.
Et là, arrive le moment de la vérité: Aragorn va recevoir son trône.
Mais attention, pas n’importe quel trône. On parle ici d’un trône roulant, fabriqué avec le bois des cadavres des Ents tombés au combat. Ouais, vous avez bien entendu. Les Ents, ces grands arbres vivants, ont sacrifié leur vie pour sauver la Terre du Milieu, et maintenant, leur bois noble va servir à fabriquer le trône du roi.
C’est pas juste un symbole de résilience, c’est un hommage à leur bravoure!
Donc, Legolas et Gimli, toujours partants pour un projet fou, se mettent au boulot. Ils rassemblent le bois des Ents, le travaillent avec soin et amour. C’est pas une mince affaire, mais quand le trône est enfin terminé, c’est un vrai chef-d’œuvre. Un mélange de force brute et de finesse elfique, avec des gravures complexes et des ornements magnifiques. Et surtout, il roule comme un charme.
Le jour J, tout le monde retient son souffle. Aragorn, en habit royal mais toujours dans sa fidèle chaise roulante, est conduit devant le trône.
« C’est le moment, les amis! » dit-il avec un sourire.
Gandalf s’avance, l’air solennel, et annonce que le trône est prêt.
« Tabarnak, c’est beau! » murmure Gimli, impressionné.
Aragorn s’installe sur son nouveau trône roulant. La foule retient son souffle. Et là, il appuie sur un petit bouton caché, et les roues du trône commencent à tourner doucement. Il avance majestueusement vers ses sujets, qui éclatent en applaudissements.
« C’est le roi qui roule! » s’écrie un gamin dans la foule, et tout le monde rit.
Le trône roulant symbolise non seulement la résilience et l’unité du royaume, mais aussi l’ingéniosité et la capacité d’adaptation. C’est un rappel constant que même dans les situations les plus inattendues, y’a toujours moyen de trouver des solutions créatives.
Les Hommes, les Elfes, les Nains et les Hobbits, tous réunis sous un même règne, voient en ce trône un symbole de leur force collective.
Et il faut dire que le trône n’est pas juste pratique, il est aussi confortable. Les Ents avaient du bois super solide, mais aussi étonnamment doux. Aragorn peut passer des heures assis là-dessus sans problème, ce qui n’est pas négligeable quand on doit gérer un royaume entier. Il se déplace avec grâce, visitant chaque coin de son domaine, toujours proche de son peuple.
Les jours passent, et Aragorn prouve qu’il est un roi pas comme les autres. Avec son trône roulant, il montre qu’on peut gouverner avec dignité, même sans marcher. Il écoute les doléances, rend justice, et inspire tout le monde par son exemple.
« Câline, c’est un vrai roi! » qu’on entend souvent dire.
Et voilà, c’est comme ça qu’Aragorn est devenu le roi qui roule. Un trône majestueux, fabriqué avec le bois des Ents tombés au combat, symbolisant la résilience et l’unité du royaume. Un symbole de dignité, de créativité et de force collective. Parce qu’avec un leader comme Aragorn, même les plus grands défis peuvent être transformés en triomphes éclatés.
Chapitre 10: La Vérité après sa Mort: Le Dernier Coup d’Aragorn
Les années passent, et Aragorn, le roi qui roule, gouverne avec sagesse et justice. Tout le monde l’adore, et sa chaise roulante enchantée devient presque aussi légendaire que lui.
Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, le jour arrive où Aragorn sent que son temps est venu. C’est le moment pour lui de dire adieu à ce monde et de passer à autre chose.
Ses proches sont rassemblés autour de lui, leurs visages empreints de tristesse. Frodon, Sam, Legolas, Gimli, et même Gandalf sont là, témoins de ses derniers instants.
Avec un dernier souffle, Aragorn ferme les yeux et s’en va rejoindre les étoiles. La tristesse est palpable, mais ils savent qu’il a vécu une vie incroyable.
Et là, Gandalf, toujours curieux et avec son flair pour les mystères, décide qu’il est temps de faire une petite autopsie pour voir exactement ce qui a causé la mort de leur ami. Parce que, soyons honnêtes, même avec tous ses pouvoirs, Gandalf aime bien savoir comment les choses fonctionnent vraiment.
Avec des gestes précis, Gandalf commence l’autopsie. Et tout d’un coup, il s’arrête net, les yeux écarquillés.
« Câline de bine, c’est pas possible! ” qu’il s’exclame.
Legolas et Gimli se penchent pour voir ce qui se passe.
« Quoi? Qu’est-ce que t’as trouvé? ” demande Gimli, l’air perplexe.
Gandalf, encore sous le choc, explique que le dos d’Aragorn est en parfait état! Pas une égratignure, pas une vertèbre déplacée. Rien. Nada. Le dos d’Aragorn est aussi solide que celui d’un jeune guerrier. Les autres n’en croient pas leurs oreilles.
« Tabarnak! Ça veut dire qu’il s’est jamais cassé le dos? » s’étonne Legolas.
Ils se regardent tous, bouche bée. Frodon, toujours le plus innocent, demande:
« Mais pourquoi il aurait fait semblant tout ce temps? »
Gandalf, encore secoué, commence à assembler les pièces du puzzle. Il se rappelle des moments où Aragorn semblait un peu trop à l’aise dans sa chaise roulante, des fois où il aurait pu se lever mais ne l’avait pas fait.
La vérité commence à émerger. Aragorn, le grand roi, le héros de la Terre du Milieu, avait feint sa blessure depuis le début. Il avait compris que se faire passer pour un infirme lui permettrait de recevoir des cadeaux magiques, comme sa chaise roulante enchantée, et d’éviter de trop forcer pendant la guerre de l’anneau.
« Quel sacré roublard! » dit Gimli, un mélange d’admiration et d’incrédulité dans la voix.
Gandalf réalise aussi pourquoi son sort de guérison n’avait jamais fonctionné. Aragorn n’avait jamais été blessé. Le sort n’avait rien à réparer. Tout était clair maintenant.
« C’était un coup de maître… » murmure Gandalf en hochant la tête, respectueux devant l’ingéniosité de son ami.
Ils rient tous, malgré la tristesse. C’était tellement typique d’Aragorn, toujours à trouver des solutions créatives et à déjouer tout le monde! Frodon, en riant, dit:
« Il a toujours été un peu différent, hein? »
Sam acquiesce, un sourire nostalgique sur les lèvres.
Ce fut le dernier coup brillant de leur ami, qui avait compris que parfois, pour survivre et triompher, il fallait savoir jouer le jeu d’une manière un peu différente. Cette révélation choquante, mais aussi incroyablement amusante, laisse ses proches perplexes mais remplis d’admiration pour ce roi pas comme les autres.
Même dans la mort, Aragorn leur a montré qu’il était toujours un pas en avance sur tout le monde. Un dernier éclat de génie et d’humour, un rappel que la vie, même dans ses moments les plus sombres, peut toujours être éclatée et remplie de surprises.
Chapitre 11: Chapitre Bonus: Tout le Monde se Casse le Dos: Le Nouveau Trend Magique de la Terre du Milieu!
Après la grande guerre de l’anneau, la Terre du Milieu retrouve enfin la paix. Les héros sont célébrés, les villes reconstruites, pis la vie reprend son cours. Mais une drôle de rumeur commence à circuler. Le secret d’Aragorn, découvert lors de son autopsie, fait le tour de tous les royaumes. Tout le monde apprend comment il avait feint sa blessure pour avoir une chaise roulante magique.
Et là, c’est le début d’une tendance complètement absurde.
Legolas, toujours partant pour une nouvelle aventure, se dit que ça serait pas pire d’avoir sa propre chaise magique.
« Si c’est bon pour Aragorn, ça doit être bon pour moi aussi », qu’il pense.
Et voilà qu’il grimpe à un arbre géant, fait semblant de perdre pied et CRAC, se pète le dos en beauté. Les Elfes, un peu perplexes mais respectant son choix, lui fabriquent une chaise roulante enchantée aussi élégante que lui.
Gimli, qui ne peut pas laisser Legolas avoir un truc cool sans en avoir un aussi, décide de suivre l’exemple. Il grimpe sur un gros rocher, fait un saut spectaculaire et CRAC, lui aussi se casse le dos. Les Nains, toujours prêts à bricoler, lui fabriquent une chaise roulante robuste en métal, avec des haches intégrées, parce que, ben, c’est Gimli!
Et là, c’est le tour des Hobbits. Frodo, Sam, Merry pis Pippin, inspirés par leurs grands amis, décident de se lancer dans l’aventure.
« Allez les gars, on va le faire ensemble! » crie Merry.
Ils grimpent sur une colline, roulent jusqu’en bas, et CRAC, CRIC, CRAC, CROC, tous se pètent le dos en même temps. Les Hobbits du Comté, complètement éberlués, leur fabriquent des petites chaises roulantes magiques adaptées à leur taille. Elles sont confortables, pratiques, et même décorées avec des fleurs.
Mais le plus absurde, c’est quand Gollum, qui finalement n’était pas entièrement tombé dans la lave, refait surface, a vu tout le monde se péter le dos se dit:
« Moi aussi je veux une chaise magique! »
Et voilà qu’il grimpe sur une falaise, saute dans le vide et CRAC, se casse le dos lui aussi. Les habitants de la Terre du Milieu, un peu réticents mais trouvant ça drôle, lui fabriquent une chaise roulante toute bizarre, adaptée à sa silhouette étrange. Et, bizarrement, Gollum devient gentil, tout heureux dans sa nouvelle chaise.
Gandalf, lui, regarde tout ça avec un air découragé.
« Saperlipopette! C’est quoi cette gang de fous? » se dit-il.
Lui, il a vu des choses étranges, mais ça dépasse tout! Il refuse de se plier à cette tendance absurde. Il essaie de raisonner ses amis, mais rien à faire. Ils sont tous trop heureux avec leurs nouvelles chaises roulantes magiques.
Partout dans la Terre du Milieu, c’est devenu le trend du moment. Des Elfes aux Nains, en passant par les Hommes et les Hobbits, tout le monde se casse le dos pour avoir une chaise roulante magique. Les artisans sont débordés, les forges travaillent jour et nuit, et les forêts se transforment en ateliers de fabrication.
Et malgré le caractère absurde de la situation, ça crée une nouvelle forme de solidarité. Les gens s’entraident pour se péter le dos (de manière sécuritaire, bien sûr), et les rires résonnent partout.
« Ben voyons donc, c’est la plus belle de toutes les modes! » dit un habitant du Rohan en voyant passer une procession de chaises roulantes enchantées.
Gandalf, malgré son découragement initial, finit par en rire lui aussi. Il voit que, même dans l’absurdité, il y a une forme de magie et de camaraderie qui unit tout le monde. Il accepte finalement que ses amis sont un peu cinglés, mais que c’est ça qui fait leur charme. Et il continue de les soutenir, même si lui préfère marcher debout.
Fin